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Questions & Réponses

Une section pour tout savoir sur le projet !

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CIUSSS montréal
but est de créer

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​1. À Montréal, il y a plusieurs CIUSSS. Est-ce que le projet est pour tout le monde, ou ciblé pour un CIUSSS ?  

 

Réponse : Tout le monde va être dans le même cercle de cocréation et le même comité de pilotage à Montréal, nous allons travailler tous ensemble et faire collaborer les 5 CIUSSS. Car on se rend compte que les jeunes à Montréal voyagent beaucoup au niveau des services.  

 

2. Le but est de créer une nouvelle Aire ouverte ? Ou une voie de communication entre Aire ouverte et Aire ouverte culturellement adaptée ? 

 

Réponse : On ne va pas créer une nouvelle Aire ouverte, mais on va adapter les pratiques au sein des Aires ouvertes déjà existante. On veut sensibiliser les prestataires de services aux défis de d’intervenir auprès de personnes de la diversité. L’idée est vraiment de sensibiliser. On veut que les services qui existent déjà soient adaptés. Les Aires ouvertes sont parties prenantes de ce projet-là, ils sont partants, ils nous ont fait savoir qu’ils avaient besoin de ce projet-là car les équipes sont confrontés à des réalités auxquelles ils ne sont pas forcément préparés. Nous allons voir si cela prend la forme de formations, d’ateliers, d’outils qui vont renforcer ou susciter leur sensibilité aux réalités attentifs pour les jeunes visé.e.s.  

   

Problèmes psychologiques

3. Dans certaines cultures, il est difficile de parler de problèmes psychologiques. Comment on compte faire ça, quelles approches pour parler de difficultés en santé mentale ? 

 

Réponse : Effectivement, beaucoup de jeunes issu.e.s de communautés culturelles rencontré.e.s dans le cadre d’une consultation au sujet des réseaux de services intégrés ont mentionné qu’ils.elles ne parlaient pas à leurs parents de leurs soucis de santé mentale. Nous sommes conscientes de ces difficultés et entrevoyons un défi majeur pour aller chercher les parents, les familles. L’idée, dans le cadre des ateliers, est de les laisser choisir les activités qu’ils.elles veulent. On voulait laisser une flexibilité pour que les parents nous disent ce qu’ils veulent, comment ils et elles se sentiraient le plus à l’aise, et qu’est-ce qu’ils.elles ont besoin de savoir : est-ce rencontrer des personnes qui expliquent des questions de santé mentale ? De déconstruire les phénomènes de société qui peuvent avoir des impacts sur la santé mentale ? En plus de la sensibilité de la question, ce sont par exemple des gens qui viennent d’arriver, ils ont beaucoup de préoccupations liées à leur immigration, et n’ont pas forcément envie de faire des ateliers (ou même juste la possibilité !). Nous allons essayer de faire en sorte de faciliter au maximum leur participation. Par exemple, nous allons leur proposer de faire les rencontres en mode virtuel ou en présentiel, pour adapter les modalités à ce qu’ils et elles souhaitent. 

Interprètes
Outils pour organismes

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​4. Est-ce qu’il y a possibilité d’avoir recours à des interprètes ? 

 

Réponse : Oui ! Nous avons prévu des services d’interprètes dans le budget, pour les jeunes aussi d’ailleurs. Nous allons également essayer de recruter des étudiant.e.s assistant.e.s de recherche qui parlent la langue des personnes cocréatrices pour faciliter le suivi avec elles et au besoin mobiliser des interprètes des banques d’interprètes à Montréal et à la Capitale-Nationale.  

 

5. Avez-vous des outils que les organismes pourraient envoyer par exemple à leurs membres ou à leurs partenaires, que ce soit des jeunes ou des proches ou encore des intervenant.e.s ? 

 

Réponse : Oui, nous pouvons vous partager de l’information sur le projet que vous pouvez vous-même partager avec vos partenaires : une vidéo de 5 minutes qui explique le projet, et aussi un résumé de deux pages. Nous pourrons vous envoyer aussi un Powerpoint de présentation du projet. Si un organisme, des intervenant.e.s, des parents et/ou des proches sont intéressés par le projet, nous pouvons aussi venir leur présenter.

   

Confidentialité

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​6. Comment cela va se passer au niveau de la confidentialité, notamment entre les jeunes et l’équipe Aire ouverte ?  

 

Réponse : En tant que chercheur.e, nous devons suivons et respectons des normes et des politiques en matière de confidentialité des données. Nous ne partageons pas les données, même avec nos cochercheur.e.s. Celles-ci seront toutes anonymisées, de manière à ce qu'on ne puisse pas savoir qui a dit quoi, et nous allons faire une synthèse de ce qui est ressorti. Pour assurer la confidentialité, nous demandons aussi à toutes les personnes qui sont impliquées, les stagiaires, les étudiants, les personnes qui vont retranscrire des données, etc. de suivre une formation éthique et elles doivent signer un engagement à la confidentialité. Et les participant.e.s à des ateliers de cocréation et à des discussions de groupe devront également signer eux.elles-mêmes un engagement à la confidentialité, et dire qu’iels s’engagent envers tous les autres à conserver cet anonymat.  

 

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7. Est-ce qu'il y aura des compensations financières ?   

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Réponse : Oui, une compensation de 30$ pour chaque activité dans le projet (atelier, entretien individuel, participation aux rencontres du comité de pilotage) sera prévue pour les jeunes, mais aussi pour les parents/proches ou leaders de communauté. Pour la participation au questionnaire en ligne, un tirage au sort est prévu pour tenter de gagner 20 cartes cadeaux de 50$. Aussi, si les rencontres se font en présentiel, nous prévoirons de quoi manger et boire (collation, lunch, souper, selon le moment de la journée). Nous donnerons également des tickets de transports pour couvrir les déplacements des jeunes et des parents/proches et leaders de communauté.  

   

Compensations financières
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